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RECORD DU CORE du MARATHON
pour ALYSSE MONNEHAY
en 4h 00’ 23’’
Pour un premier Marathon, ce fut un coup « de maîtresse »
pour Alysse MONNEHAY lors de ce 45ème Marathon de PARIS.
Des dizaines de milliers de coureurs viennent se
confronter aux mythiques 42,195 km de la plus longue épreuve que propose
l’athlétisme.
C’est une traversée de Paris, qui part des Champs
Elysées vers l’Avenue Foch en passant par les bois de Vincennes et de Boulogne,
de part et d’autre des quais de Seine et offre un décor incomparable émaillé
d’animations diverses.
Dans ce contexte de grande fête de la course longue
distance, l’athlète du groupe RUNNING de la section qui avait déjà de très
belles références sur 10 km (43’54’’) et sur Semi-Marathon (1h44’00’’) allait « goûter »
aux plaisirs et aux souffrances du Marathon, d’autant que le parcours parisien
n’est pas des plus faciles.
Le parcours 2022
Les pièges sont nombreux sur cette distance.
D’abord ceux inhérents au parcours tels les passages des
trémies des voies sur berges qui sont de véritables « casse-pattes »,
à l’environnement, la foule de coureurs(es) qui génère d’incessants
dépassements subis ou effectués ne facilitent pas la gestion de son allure,
élément primordial sur cette distance, la météo très fraiche de ce dimanche matin
d’avril qui génère une perte d’énergie supplémentaire et l’envie de bien faire
qui peut vous entraîner dans des cadences trop élevées.
Le Marathon, ce ne sont pas que 42 km 195 à courir mais
aussi un ensemble de paramètres physiques, certes, mais aussi moraux et
environnementaux à gérer afin d’exploiter
au mieux son potentiel du jour.
Mais quoi qu’il en soit, quel que soit son niveau, va arriver le moment où la souffrance, en ultime obstacle, imposera de faire fi de la fatigue, des douleurs, d’une vigilance affaiblie pour parcourir les derniers kilomètres, les derniers hectomètres et passer sous l’arche d’arrivée en « finisher ».
Alysse a brillamment réalisé son objectif avec ce beau
chrono 4h 00’ 23’’ en réalisant une course très régulière, bien
maîtrisée jusqu’au 37ème kilomètre (parcourus entre 5’25 et 5’40’’
au km !), moment où la fatigue accentue son emprise et sollicite un peu
plus les ressources morales du marathonien.
" J'avais oublié que c'était aussi dur. J'ai bien tenu jusqu'au 37ème km et à partir de là, c'est la première fois que celà m'arrivait, j'eus les bras engourdis et même les lèvres, de drôles de sensations. J'ai fait un peu de zigzagues sur les avenues parisiennes"
55’20’’ au 10km, 1h 51’ 37’’ au 20km, 1h 57’ 23’’ au semi,
3h 17’ 12’’ au 35km des chronos convaincants qui mettent en évidence la belle
gestion de course d’Alysse qui peut être fière de cette première expérience sur
le Marathon et de son entrée dans les tablettes des records du CORE avec
panache.
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Pour les amateurs de l'histoire de l'athlé et de documentation:
Le site de la Commission de la Documentation et de l'Histoire
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